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La Confusion des sentiments et autres récits
Nicole Casanova (traduit par), Irène Kuhn (traduit par), Olivier Mannoni (traduit par), Tatjana Marwinski (traduit par), Jörg Stickan (traduit par), Françoise Wuilmart (traduit par), Sacha Zilberfarb (traduit par)
Date de parution : 14/02/2013
Éditeurs :
Bouquins
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La Confusion des sentiments et autres récits

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Nicole Casanova (traduit par), Irène Kuhn (traduit par), Olivier Mannoni (traduit par), Tatjana Marwinski (traduit par), Jörg Stickan (traduit par), Françoise Wuilmart (traduit par), Sacha Zilberfarb (traduit par)
Date de parution : 14/02/2013

Ce volume rassemble l’essentiel des nouvelles et récits qui ont fait la valeur et la célébrité de Stefan Zweig (1881-1942). L’écrivain excellait dans ces formes brèves, où son style et...

Ce volume rassemble l’essentiel des nouvelles et récits qui ont fait la valeur et la célébrité de Stefan Zweig (1881-1942). L’écrivain excellait dans ces formes brèves, où son style et son analyse de l’âme humaine n’ont cessé de s’affirmer.
Soixante-dix ans après sa disparition, il demeure l’un des auteurs les plus...

Ce volume rassemble l’essentiel des nouvelles et récits qui ont fait la valeur et la célébrité de Stefan Zweig (1881-1942). L’écrivain excellait dans ces formes brèves, où son style et son analyse de l’âme humaine n’ont cessé de s’affirmer.
Soixante-dix ans après sa disparition, il demeure l’un des auteurs les plus lus dans le monde, et notamment en France. Mais les traductions de Zweig, qui datent pour certaines d’un demi-siècle, ont souffert de l’épreuve du temps, rendant nécessaire de retraduire ses textes intégralement, dans un souci à la fois de modernisation et de fi délité à la version originale. Cette édition a aussi pour particularité de présenter les récits de Zweig dans l’ordre chronologique, ce qui permet de mieux saisir l’évolution de son écriture et des thèmes qu’il explore.
Certaines de ces oeuvres, devenues introuvables ou restées inédites en français, tels Rêves oubliés, Une jeunesse gâchée ou Deux solitudes, révèlent des aspects méconnus de son imaginaire. On trouvera également ici ses titres les plus célèbres, d’Amok et de La Confusion des sentiments à Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, autant d’évocations fascinantes et toujours actuelles de destinées confrontées au vertige de la passion amoureuse, à son pouvoir démoniaque, à ses ambiguïtés et ses abîmes.
« D’emblée, observe Pierre Deshusses, Zweig se met du côté des victimes, qui requièrent sa sympathie et la compassion du lecteur. » Telle est sans doute la raison profonde de l’engouement qu’il suscite plus que jamais auprès d’innombrables lecteurs qui se reconnaissent si justement dans ses personnages.

 

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EAN : 9782221116623
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1312
Format : 132 x 198 mm
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • michelblaise 11/04/2024
    "Le seul moyen de se débarrasser d'une tentation est d'y céder',(Oscar Wilde) Publiée pour la première fois en 1920 à Berlin, "La Peur " est une nouvelle qui incarne avec brio la maîtrise psychologique de Stefan Zweig. Traduite par Alzir Hella et éditée par Grasset en 1935, cette oeuvre est un joyau de la littérature qui explore les abysses de l'anxiété humaine avec une précision chirurgicale. La nouvelle nous plonge dans le quotidien d'Irène, une femme de la bourgeoisie viennoise, qui se trouve piégée dans les filets de l'infidélité et du chantage. Zweig, avec une acuité psychologique inégalée, dépeint la descente aux enfers d'Irène, où chaque battement de coeur est un écho de sa peur grandissante. La citation en exergue attribuée à Oscar Wilde, résonne parfaitement avec le dilemme d'Irène. Cette phrase illustre la lutte intérieure entre la morale et le désir, un thème central de la nouvelle. Zweig, connu pour son habileté à disséquer l'âme humaine, excelle dans l'art de capturer l'essence des 'petites choses', ces détails infimes qui composent la psyché. 'La Peur' est un exemple éclatant de sa capacité à étudier l'être humain, révélant les nuances de la psychologie avec une finesse rare. Bonne lecture. Michel
  • Desmotspourtoujours 10/04/2024
    Découvrir Stefan Zweig, c’est accepter d’entrer dans les méandres de la psychologie, de naviguer dans les eaux troubles et de tenter de voir la lumière dans de multiples infinités. Découvrir Stefan Zweig, c’est ouvrir une porte qu’il est bien difficile de fermer. Un écrivain de génie qui, en quelques lignes, capte votre attention et vous retient prisonnier sans aucun remord. Je suis fascinée par cette capacité à faire d’un simple sujet/intrigue, un récit d’une juste complexité. Il effeuille, lignes après lignes, il décortique le moindre geste, la simple attitude, le comportement avec magnanimité, justesse. Un regard transperçant, honnête qui dévoile l’intimité, l’incongru, l’invisible. Il joue avec les codes du roman noir et de l’érotisme. Une lecture à la fois déconcertante, magique, captivante qui m’a enchaîné à l’indicible. Une expérience vivifiante, bouleversante et unique. Six nouvelles, six histoires qui nous plongent dans la manipulation, la sournoiserie, la beauté, le souvenir, l’invisible et l’amour. « La peur » ou « Angoisses » retrace l’emprise de la peur d’une femme infidèle découverte. « Révélation inattendue d’un métier » nous décrit la vie d’un pickpocket aux abois. « Leporella » nous plonge dans la vie d’une domestique qui voue une admiration sans borne au maître de la maison. Un amour pur confronté à la folie. « La femme et le paysage » met en scène jeune homme pris au piège d’un séjour suffocant au cœur de la campagne. « Le bouquiniste Mendel » confronte le savoir, la connaissance à la barbarie. « La collection invisible » nous plonge dans l’amour puissant d’un homme envers sa collection de tableaux. Je suis tombée amoureuse de Stefan Zweig. Sa manière d’écrire, de magnifier, de décrire la moindre imperfection et perfection, m’a subjuguée. Lu dans le cadre de la lecture commune #balancetonclassique de @soraya_lettrice_ et de @lepinguoinquilit.Découvrir Stefan Zweig, c’est accepter d’entrer dans les méandres de la psychologie, de naviguer dans les eaux troubles et de tenter de voir la lumière dans de multiples infinités. Découvrir Stefan Zweig, c’est ouvrir une porte qu’il est bien difficile de fermer. Un écrivain de génie qui, en quelques lignes, capte votre attention et vous retient prisonnier sans aucun remord. Je suis fascinée par cette capacité à faire d’un simple sujet/intrigue, un récit d’une juste complexité. Il effeuille, lignes après lignes, il décortique le moindre geste, la simple attitude, le comportement avec magnanimité, justesse. Un regard transperçant, honnête qui dévoile l’intimité, l’incongru, l’invisible. Il joue avec les codes du roman noir et de l’érotisme. Une lecture à la fois déconcertante, magique, captivante qui m’a enchaîné à l’indicible. Une expérience vivifiante, bouleversante et unique. Six nouvelles, six histoires qui nous plongent dans la manipulation, la sournoiserie, la beauté, le souvenir, l’invisible et l’amour. « La peur » ou « Angoisses » retrace l’emprise de la peur d’une femme infidèle découverte. « Révélation inattendue d’un métier » nous décrit la vie d’un pickpocket aux abois. « Leporella » nous plonge dans la vie d’une domestique qui voue une admiration sans borne au...
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  • Aupaysbleu 09/04/2024
    Un texte très court, un sujet très ordinaire somme toute et longuement exploité en littérature, mais aussi et surtout l'occasion de retrouver Stefan Zweig. Cette nouvelle que je qualifierai volontiers de terrible (je n'ai pas d'autre mot) nous montre à quel point cet auteur excelle pour ce qui est d'explorer l'âme humaine. La peur nous tient tout au long de ces quelques cent pages, et l'issue est .... terrible. Voilà, c'est le mot.
  • elanor_bookworm 03/04/2024
    Trois nouvelles dans lesquelles Stefan Zweig explore avec talent et finesse les tourments et passions de l’âme humaine, que ce soit à travers un coup de folie passager ou d’une obsession au long cours. Il parvient avec brio à nous faire ressentir de la compassion pour ces personnages proches de la folie, en mettant l’accent sur leur côté terriblement humain et universel, avec toujours cette écriture ciselée magnifiquement traduite. Un maître dans l’analyse des sentiments!
  • Priscilla14 01/04/2024
    C'est une collègue qui m'a fait découvrir Stefan Zweig avec "Le joueur d'échecs" que j'avais beaucoup apprécié. Ici, le narrateur rencontre sur un navire de croisière un homme étrange qui reste caché dans la nuit...Il va lui raconter ses déboires. Médecin, il s'était retrouvé en Malaisie coloniale à cause d'une incartade amoureuse peu glorieuse en Allemagne. Là-bas, une fière anglaise vient le trouver pour lui demander secours: elle est enceinte (pas de son mari) et sollicite une aide pour avorter. C'est une question d'honneur. Le médecin, séduit, va réclamer un prix en nature pour ce service.... Et va s'en suivre un bras de fer psychologique entre lui et la dame adultère mais digne. Mais au fait, qu'est ce que l'amok? c'est une forme de folie homicide observée en Malaisie, conséquence pathologique de frustrations et d'humiliations... #x1f44dOn est sur un roman court mais puissant. La tension psychologique est palpable tout du long du roman, depuis la rencontre entre le narrateur et ce médecin, jusque dans l'histoire de folie humaine qu'il va lui livrer. L'écriture est fluide, atemporelle. C'est un récit très bien construit, profond. J'ai beaucoup aimé le style. #x1f44eCe format court pourrait parfois me laisser un peu sur ma faim En bref, j'ai beaucoup aimé ce roman (même si j'ai préféré "Le Joueur d'échecs") et je vais très certainement continuer à découvrir cet auteur. C'est une collègue qui m'a fait découvrir Stefan Zweig avec "Le joueur d'échecs" que j'avais beaucoup apprécié. Ici, le narrateur rencontre sur un navire de croisière un homme étrange qui reste caché dans la nuit...Il va lui raconter ses déboires. Médecin, il s'était retrouvé en Malaisie coloniale à cause d'une incartade amoureuse peu glorieuse en Allemagne. Là-bas, une fière anglaise vient le trouver pour lui demander secours: elle est enceinte (pas de son mari) et sollicite une aide pour avorter. C'est une question d'honneur. Le médecin, séduit, va réclamer un prix en nature pour ce service.... Et va s'en suivre un bras de fer psychologique entre lui et la dame adultère mais digne. Mais au fait, qu'est ce que l'amok? c'est une forme de folie homicide observée en Malaisie, conséquence pathologique de frustrations et d'humiliations... #x1f44dOn est sur un roman court mais puissant. La tension psychologique est palpable tout du long du roman, depuis la rencontre entre le narrateur et ce médecin, jusque dans l'histoire de folie humaine qu'il va lui livrer. L'écriture est fluide, atemporelle. C'est un récit très bien construit, profond. J'ai beaucoup aimé le style. #x1f44eCe format court pourrait parfois me laisser un peu sur ma faim En bref, j'ai beaucoup aimé ce roman (même...
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