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Le Livre noir du communisme
Crimes, terreur, répression
Date de parution : 12/11/1998
Éditeurs :
Bouquins

Le Livre noir du communisme

Crimes, terreur, répression

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Date de parution : 12/11/1998

Comment un idéal d'émancipation, de fraternité universelle, se retourna-t-il au lendemain même d'octobre 1917 en doctrine de la toute-puissance de l'Etat, pratiquant la discrimination systématique de groupes sociaux ou nationaux...

Comment un idéal d'émancipation, de fraternité universelle, se retourna-t-il au lendemain même d'octobre 1917 en doctrine de la toute-puissance de l'Etat, pratiquant la discrimination systématique de groupes sociaux ou nationaux entiers, recourant aux déportations de masse et trop souvent aux massacres gigantesques ?
Quatre-vingts ans après le coup d'Etat bolchevique, une...

Comment un idéal d'émancipation, de fraternité universelle, se retourna-t-il au lendemain même d'octobre 1917 en doctrine de la toute-puissance de l'Etat, pratiquant la discrimination systématique de groupes sociaux ou nationaux entiers, recourant aux déportations de masse et trop souvent aux massacres gigantesques ?
Quatre-vingts ans après le coup d'Etat bolchevique, une équipe d'historiens et d'universitaires a entrepris, continent par continent, pays par pays, de dresser le bilan le plus complet possible des méfaits commis sous l'enseigne du communisme : les lieux, les dates, les faits, les bourreaux, les victimes.
Le Livre noir du communisme a suscité dès sa parution un débat qui a traversé nos frontières. C'est, sur une tragédie planétaire, le premier livre de référence.

«C'est pour la première fois en un seul volume un panorama international complet du communisme dans toute son étendue géographique et chronologique.» Jean-François Revel, Le Point.
«Le Livre noir [...] éclaire d'une lumière noire le totalitarisme le plus durable de notre siècle. C'est une lecture éprouvante et nécessaire.» Bruno Frappat, La Croix.
«Lisons-le en silence, en imaginant la réalité de ce qu'il nous dit [...] sur la réalité engendrée par une utopie mortifère qui a exploité le meilleur et le pire de l'être humain.» Jacques Amalric, Libération.

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EAN : 9782221088616
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 930
Format : 132 x 198 mm
EAN : 9782221088616
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 930
Format : 132 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ericpct 02/04/2024
    Quand on entend crimes de masse, camps de concentration, suppression des libertés fondamentales, culte de la personnalité, nos esprits pavloviens pensent aussitôt à Hitler et l'horreur absolue de son III° Reich, oubliant qu'en fait, dans le domaine de l'extermination de masse, le dictateur psychopathe à la petite moustache serait presque un nain au regard des "résultats" obtenus par Staline et Mao, pour ne citer qu'eux... Mao, dont les portraits géants s'étalent encore partout en Chine? Quelque soixante-dix millions de morts (on ne saura jamais vraiment combien) au compteur! L'Histoire ne donne jamais tort au vainqueur, et il est bien regrettable que l'occasion d'un procès de Nuremberg du communisme n'ait jamais pu se tenir nulle part dans le monde. Prenez le Cambodge, par exemple et voyez comment un voile pudique recouvre encore aujourd'hui dans ce pays martyr les exactions commises au temps du Kampuchéa démocratique sous l'égide de Frère Numéro Un et ses sicaires... Il faut donc saluer l'existence d'un livre tel que celui-ci et en encourager la lecture.
  • itculture 02/04/2024
    Ce "livre noir" est un procès intenté au communisme réel, un réquisitoire général après les terrifiants témoignages accumulés depuis L'Aveu d'Arthur London, ou L'Archipel du Goulag d'Alexandre Soljenitsyne. Le Livre noir du communisme rend compte de l'abjecte réalité du crime de masse, où, derrière des prétextes idéologiques, se dissimulent les nombreuses complicités, la bestialité des bourreaux et de leurs chefs. La préface résume bien le contenu de l’étude, un travail colossal permis grâce à l’ouverture des archives, du témoignage des survivants des camps et des livres des dissidents ou des réfugiés, publiés en occident. Certains livres ont même été contestés, comme celui de Kravchenko exilé aux Etats Unis, écrit en 1946 où il décrit les purges et les famines : J’ai choisi la liberté. Un procès lui sera fait en France pour être un désinformateur et agent de la CIA. Trois parties et près de mille pages seront nécessaires pour balayer l’ampleur du désastre avec ses millions de sacrifiés (impossible d'en faire le décompte), en Union soviétique, en Chine, au Cambodge, au Vietnam, en Europe....), chaque chapitre étant consacré à un sujet, extrêmement bien documenté. Un livre indispensable pour s'informer et savoir de quoi on parle !!!
  • KangoupinBlanc 06/02/2024
    L'historienne rouge Annie Lacroix-Riz déteste ce monument salutaire. Dans une entrevue accordée à son parti le Pôle de Renaissance Communiste en France, d'obédience marxiste-léniniste "canal historique", je l'ai entendue nier l'intentionnalité de l'Holodomor dont elle qualifie le nom d'escroquerie intellectuelle. Stéphane Courtois a aussi publié le livre noir de Poutine où il accuse une continuité entre la praxis du régime de celui-ci et celle du système soviétique qui l'a formé. En Occident, avec le wokisme, avec les tenants de l'influence délétère gauchiste, avec les enfants de l'école de Francfort et de la théorie critique, il est plus que d'actualité de dénoncer cette idéologie aux innombrables fruits pourris : la pathologie est loin d'avoir disparu en 2024. Une dernière remarque pour la route. Il est absurde de qualifier - comme j'ai pu le lire sur la Toile - la décommunisation de l'espace public opérée par les Polonais, les Baltes et les Ukrainiens, défendue fut un temps par Vladimir Poutine lui-même et par une certaine droite russe, comme relevant dudit wokisme, c'est justement le passé qui se venge et c'est l'Europe millénaire qui fait justice en mettant à bas cet idéal qui consiste à "faire du passé table rase" ; on aurait bien tort d'en nier l'unité sémiotique comme certains entendent le faire par intérêt de sauvetage idéologique ou du moins par déni coupable. Je suis en faveur de l'interdiction pure et dure du communisme pour ma part. On a pu en avoir un avant-goût chinois avec le passe sanitaire durant la crise covidodémente. Pour aller plus loin, puisque l'on passe trop le chaînon explicatif entre bolchevisme et éthos judaïque sous silence, ce qui est un affront à l'intégrité morale de l'analyste : https://youtu.be/ihqXV3kJiWs?si=aRWtqmVqVXAuJxwQL'historienne rouge Annie Lacroix-Riz déteste ce monument salutaire. Dans une entrevue accordée à son parti le Pôle de Renaissance Communiste en France, d'obédience marxiste-léniniste "canal historique", je l'ai entendue nier l'intentionnalité de l'Holodomor dont elle qualifie le nom d'escroquerie intellectuelle. Stéphane Courtois a aussi publié le livre noir de Poutine où il accuse une continuité entre la praxis du régime de celui-ci et celle du système soviétique qui l'a formé. En Occident, avec le wokisme, avec les tenants de l'influence délétère gauchiste, avec les enfants de l'école de Francfort et de la théorie critique, il est plus que d'actualité de dénoncer cette idéologie aux innombrables fruits pourris : la pathologie est loin d'avoir disparu en 2024. Une dernière remarque pour la route. Il est absurde de qualifier - comme j'ai pu le lire sur la Toile - la décommunisation de l'espace public opérée par les Polonais, les Baltes et les Ukrainiens, défendue fut un temps par Vladimir Poutine lui-même et par une certaine droite russe, comme relevant dudit wokisme, c'est justement le passé qui se venge et c'est l'Europe millénaire qui fait justice en mettant à bas cet idéal qui consiste à "faire du passé table rase" ; on aurait bien tort d'en...
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  • OpticonTessour 23/01/2022
    Qu'il semble désormais loin le temps du communisme ! Le PCF, Georges Marchais, Duclos, Thorez... Mais aussi l'URSS, la Chine, le Viet Nam, Cuba... Staline et Mao... Un fiasco économique, une chape de plomb, le goulag en URSS, la révolution culturelle et les millions de morts dans les pays communistes. Que les utopies peuvent être dangereuses !
  • Noetique01 09/12/2021
    On se demande comment la mauvaise foi des communistes historiques devient possible face à la présentation de ce qui serait difficilement contestable par un esprit raisonnable. Peut-être la peur de faire face à l'histoire, sans doute... Car à part de piteuses injures, on voit mal quels sont généralement les arguments adverses (en dehors de la méthodologie statistique qui n'est pas de nature à changer le fond).
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